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 But it feels so good, so good (lilian)

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Hector
Hector
Messages : 71Sand : 140Date d'inscription : 11/09/2016Sexualité : pansexuelOccupations : homme sandwich & bouffon publicClasse : déviantAvatars : zacharie, off


Tu as longuement voyagé, Hector, avant d'arriver à Hypnos. Tu as traversé différentes villes, différents lieux, errant de tout ton être jusqu'à trouver un endroit plus serein, plus doux que Nirjana. Cela ne fut pas compliqué, car cette ville semble être à tes yeux l'antre des enfers. Tu l'as fuis. Encore aujourd'hui, il s'agit probablement du seul endroit où tu ne désires pas remettre les pieds. Par peur, sans aucun doute. Peur que ce bonheur que tu arrives à faire battre en toi disparaisse. Peur que ces douleurs, que tes larmes reviennent. Rien que d'y penser, tu as le cœur qui pince, qui pique, qui brûle et hurle. Alors, tu évites ces douloureux souvenirs, décidé à te concentrer sur d'autres, bien plus heureux. Ces personnes, par exemple. Celles que tu as rencontré sur ta route vers Hypnos. Celles qui ont marqué ton esprit, qui te font sourire et que tu ne cesses de vouloir enlacer, serrer, aimer.

Et dedans, il y a eu Lilian. Il y a encore, d'ailleurs. Il n'est pas rare que tu te déplaces – lorsque tu possèdes enfin les moyens et le temps – pour voir ce bon ami. Qu'il soit disponible ou non, d'ailleurs. Tu viens toujours sans prévenir, parce que tu sais pertinemment que tu écrirais tout sauf ta visite dans tes lettres. Tu t'invites donc. Littéralement. Parce que tu ne restes pas qu'une seule journée, dans ce genre de cas. Non, tu t'installes. Tu fais un peu comme chez toi – ou comme chez ta voisine, d'ailleurs – et tu le remercies uniquement à l'aide de caresses et de tendresse. C'est ce que tu comptes faire, cette fois-ci encore.

Tu pousses la porte de sa boutique avec beaucoup de retenue, comme si tu pouvais passer inaperçu. Néanmoins, pour se faire, il aurait fallu que tu te taises, ce qui ne fut clairement pas le cas. Tu élèves la voix avant même d'avoir fermé la porte et de savoir s'il est occupé avec un client. « Lilian, devine qui c'est ? » Tu lèves les bras au ciel, baisses tes pouces en ta direction, plies une jambe et étires l'autre. Oui, tu viens de littéralement prendre la pose. Et l'une des plus ridicules, qui plus est. « C'est moi ! » as-tu continué, insistant au passage sur la dernière sonorité de moi, montant un peu dans les aigus. Et ce n'est pas fini, car le monde serait bien plus silencieux si tu étais connu pour te taire, Hector, ou ne serait-ce que parler peu. « Et par moi, je veux bien sûr dire l'illustre Hector, c'est-à-dire moi. Tu es occupé ? Parce que moi non. Alors je me suis dis que j'allais passer. Tu es content, ou ravi ? Moi je suis convi, c'est un mélange des deux. Mais en fait pas trop parce que cette pose fait mal, ce qui explique pourquoi je ne l'utilise jamais quand je travaille … et mais tu es occupé ? Non ? Parce que moi non. » Et tu lâches un petit rire presque enfantin, fier de toi-même. Tu bouges enfin, changeant de position, en profitant pour t'étirer les bras ainsi que les jambes.

Si ça ne tenait qu'à toi, tu lui aurais déjà sauté au cou, mais tu préfères jeter un regard sur le salon afin de savoir s'il travail ou non, peu désiré de rendre quelqu'un chauve.
Sujet: But it feels so good, so good (lilian) Lun 21 Nov - 23:21
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Lilian Valenski
Lilian Valenski
Messages : 18Sand : 43Date d'inscription : 26/10/2016Sexualité : PansexuelOccupations : CoiffeurClasse : HybrideAvatars : Suwa Hiroto - OrangeAge : 24

But it feels so good, so good
« Vous voyez, il parle de deux choses : l'obscurité et la lumière. La lumière est l'artifice suprême du monde... C'est pour cette raison qu'elle nous séduit tant. Sans elle, pas de ciel, pas d'étoiles et aucun visage à regarder pour l'aimer. »
Une nouvelle journée a commencé. Tu t'es éveillé ce matin le cœur un peu lourd mais prêt à affronter le soleil et les sourires et la douceur des gens d'Hypnos ; tu t'es éveillé ce matin le cœur un peu lourd mais bien déterminé à t'alléger un peu, et c'est ce que tu t'es acharné à faire durant toute cette matinée. Tu t'es mis à chantonner devant ton petit-déjeuner, comme ça d'un seul coup, tout seul dans ton petit appartement pour combler le silence qui devenait pesant ; il faudrait que tu penses à prendre un coloc', ou enfin oser demander à Lyssandre de venir habiter avec toi, mais tu sais bien que tu n'en n'auras jamais le courage. Il est présent dans ta tête et c'est déjà trop ; tu t'imposes assez en débarquant toujours à l'improviste, tu le déranges toujours assez avec ton caractère à la noix et ta volonté de bien faire pour toujours tout foirer. Alors non, tu n'iras sûrement pas lui demander ça ; tu préfères encore affronter ce silence qui te pèse, qui t'écrase, qui t'aplatit comme une enclume parce que ça va encore, tu tiens debout, ça pourrait être pire, bien pire. C'est ça que tu te dis en chantonnant ce matin-là ; ça pourrait être pire, et ça te fait sourire.

Tu es parti pour ton salon de plutôt bonne humeur, au final. Les sourires des différents clients prévus pour aujourd'hui finissent de t'élever, de considérer ça comme une bonne journée. Tu leur faire la conversation, tu rigoles aux plaisanteries, tapotes leurs épaules aux soucis ; et tu te sens bien, là, à ta place. Tu rayonnes de joie et alors que tu assénais quelques coups de ciseaux précis sur les mèches d'une cliente plutôt bavarde, la sonnette de la boutique annonce une nouvelle arrivée. C'était plutôt bizarre, tu n'avais aucun rendez-vous de prévu à cette heure – mais tu es trop concentré sur ta tâche pour adresser de suite un regard sur le côté. C'est donc sa voix qui te parvient en premier ; cette voix familière qui résonne en toi et gonfle ton cœur de nounours, qui étire tes lèvres dans un long sourire heureux. Hector, ton petit koala à toi, Hector qui te manquait un peu, que tu n'avais pas revu depuis trop longtemps déjà ; et il parle, ton Hector, il te parle d'une pose que tu ne vois pas alors tu lâches les ciseaux, juste un instant, juste le temps de te retourner pour le voir les pouces tendus et la jambe pliée et tu ris, tu ris de plus belle devant sa bêtise, sa joie, sa présence. Tes oreilles se dressent et ta queue danse dans ton dos, joyeuse elle aussi. « Oui, je suis occupé, je suis à toi dans deux minutes » Que tu annonces cependant, pour revenir à ta cliente et terminer sa coupe. Voilà que tu la relâches, un peu vite, un peu précipitamment pour la faire payer et retourner à ton ami.

Tu lui fonces dessus, sans prévenir. Tu bondis au creux de ses bras, tu le soulèves et le serres fort, contre toi, tu inspires son odeur de voyage et tu profites de sa chaleur ; il peut même entendre un léger ronronnement au creux de son oreille, et t'es heureux Lilian, si heureux de le revoir, tout ton être explose sous cette joie qu'il t'a communiqué en quelques mots. « Tu m'as manqué, Hector ! Beaucoup beaucoup. Tu es arrivé y'a longtemps ? Tu as besoin de te poser peut-être ? Tu as faim ? Soif ? J'ai mon déjeuner je peux te le donner si tu veux ! Tu as quoi de beau à me raconter ? » Et toi aussi, tu parles, tu parles, ta langue se délie de plus belle alors que tu le lâches pour t'affairer autour de lui, pour sortir ton déjeuner et le lui tendre sans même lui demander son avis.

Sujet: Re: But it feels so good, so good (lilian) Mer 30 Nov - 23:18


Dernière édition par Lilian Valenski le Sam 3 Déc - 19:16, édité 1 fois
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Hector
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Messages : 71Sand : 140Date d'inscription : 11/09/2016Sexualité : pansexuelOccupations : homme sandwich & bouffon publicClasse : déviantAvatars : zacharie, off


Si l'expression « le client est roi » était de mise ici, tu crierais au mensonge de ce pas; car tu n'es guère client et pourtant, tu es accueilli comme un petit prince. Tu l'es toujours, ici. C'est un plaisir sans fin que de passer dans cette boutique, que ce soit à l'improviste ou en ayant prévenu, car les réactions de Lilian sont toujours remplies de tendresse. Tu le vois bien à ses oreilles et sa queue qui bougent. Et toi, toi Hector, tu as le sourire au masque, celui qui fait plisser les fentes de tes yeux, qui te donne cet air presque félin, rempli de malice et de bonheur. Car tu es en ce moment même heureux. Tu te sens un peu comme à la maison, un lieu rempli de bonheur que tu ne peux qu'aimer, qui te manque parfois. Et c'est toujours impatient que tu y retournes, tu reviens ici. C'est toujours impatient que tu agis, d'ailleurs. Tu es impatient; autant qu'un enfant. Deux minutes, c'est très long, d'ailleurs. Trop long. Alors tu t'étais mis à sautiller sur le côté, tout en observant la boutique dans ses moindres détails, sifflotant un air à la va vite. Et puis, c'est arrivé.

Ce fut son corps contre le tien, entre tes bras. Ton corps qui s'élève alors que des rires ne cesse d'échapper de ta gorge et que tu frottes ton visage contre ses cheveux de blés. Tu passes même tes jambes autour de sa taille, et tes bras à son cou. À ce moment précis, tu es déjà décidé à ne plus le lâcher, mais c'est le bruit qu'il produit qui te rassure dans ton choix. Alors, tu poses sur sa crinière tes lèvres, parce que tu as toujours été de ceux tactile, qui ne voient pas le mal à laisser quelques baisers par-ci par-là, en toute innocence de cause. Et tu en profites, d'ailleurs. Tu en profites pour sentir son odeur, bien que ce qui vient à ton nez est plus le savant mélange des diverses produits facilement trouvables ici. Il sent le coiffeur, comme on dit, mais toi, ça ne te dérange pas. Cela ne te dérange pas non plus lorsqu'il parle, de tout, de rien. Un peu comme toi, un peu comme vous. Tu l'écoutes attentif, même si ta concentration se brise lorsqu'il s'éloigne de toi et que tu le laisses faire, bien que tu ne comptes pas le laisser s'enfuir ainsi. Car oui, Hector, même un déjeuner n'est pas une assez bonne raison pour te laisser de côté. Même le déjeuner de Lilian, hélas. Pourtant, cela n'enlève rien à ta bonne humeur. « J'espère qu'il est aussi bon que mes blagues sinon je serais tristement déçu. » As-tu commencé à dire, lâchant au passage un petit rire espiègle. « Mais tu sais on peut le couper en quatre parts : deux pour toi et deux pour moi. » Tu te retrouves à mimer la coupe en croix, alors que tu aurais tout simplement pu proposer de le faire en deux. Mais non, tu proposes quatre, et encore, tu voulais à l'origine dire huit, mais les portions auraient été minuscule, bien que de la même taille si fusionnées après la répartition. D'où l'intérêt de n'en faire que deux, d'ailleurs. Mais non. Toi, tu proposes quatre.

Et en plus de cela, tu n'attends pas sa réaction avant de l'agripper de nouveau par le cou, reprenant ta position de tantôt, en profitant ainsi pour passer ta main dans ses cheveux pour les décoiffer. Un comble pour un coiffeur, te dis-tu. Cela t'amuse, ce qui te fait parler de manière instinctive. De toute façon, tu es persuadé de ne rien avoir à craindre ici. « Tu m'as manqué aussi Lilian ! Je veux dire, j'ai rencontré d'autres Lilian, mais toi-Lilian, tu vois ? Et les autres ne me manquent pas. Pas comme comme toi, le Lilian. Du coup je me suis dis que j'allais passer. Et surprise, me voici ! Rien que pour toi, si c'est pas magique ? Je suis à peine arrivé en ville et me voilà déjà chez toi. Ou dans ta boutique. Est-ce que ta boutique c'est chez toi ? J'oublie toujours. J'ai trop de choses dont il faut que je me rappelle, tu sais ? Par exemple à quelle température on met l'eau à chauffer pour des pâtes, ou bien de quelle côté on tourne le robinet pour fermer l'eau, ou encore où je suis censé travailler en fonction des jours, me souvenirs de mes blagues pour quand je suis dehors, et puis tenter de savoir si mon appartement c'est la première ou la deuxième porte, si c'est à droite ou à gauche. Sans oublier que franchement, des fois je me dis que c'est bon et en fait ce n'est pas le bon étage. Je pense qu'il rajoute des escaliers quand je ne suis pas là, où qu'ils en enlèvent. Je ne comprends pas trop, en fait. T'en penses quoi, toi ? Tu penses que quelqu'un rajoute des étages à l'immeuble ? C'est peut-être le propriétaire. Peut-être qu'il me test parce qu'il est effrayé de mon talent. Qui ne le sautait pas, aussi … »

Et enfin, tu te permets de faire une pause après cette longue tirade, prononcée à un rythme endiablé, ce qui te force à reprendre ton souffle, toujours en jouant avec les cheveux de ce pauvre Lilian qui va devoir te supporter. Parce que le pire, dans tout ça, quand même, Hector, c'est que ce n'est pas fini. Cette micro-pause, tu l'uses à bonne escient : tu places ton visage juste devant le sien, pour plonger tes yeux dans les siens, et continuer d'une voix pleine de candeur. « Dis par contre, c'est loin Hypnos tu sais. Enfin pas vraiment, mais voilà, l'aller-retour en une journée c'est compliqué … » Et tu as un peu mal de commencer à quémander de la sorte, tu as l’impression d'être un profiteur de première zone et pourtant, tu le fais, espérant qu'il ne le prenne pas mal. Tu te tentes de faire l'innocent, lorsque tu demandes sagement. « Tu penses que je pourrais dormir chez toi ce soir, Liliamour ? » Et tu l'amadoues avec un petit surnom, qui plus est. Et comme si cela ne suffisait pas, tu glisses même un rapide. « Je te ferais des bisous sur les cheveux là. C'est comment qu'on appelle ça ? Des poupailles ? Des papetes ? Des papouilles …  ? »
Sujet: Re: But it feels so good, so good (lilian) Jeu 1 Déc - 0:01
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Lilian Valenski
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Messages : 18Sand : 43Date d'inscription : 26/10/2016Sexualité : PansexuelOccupations : CoiffeurClasse : HybrideAvatars : Suwa Hiroto - OrangeAge : 24

But it feels so good, so good
« Vous voyez, il parle de deux choses : l'obscurité et la lumière. La lumière est l'artifice suprême du monde... C'est pour cette raison qu'elle nous séduit tant. Sans elle, pas de ciel, pas d'étoiles et aucun visage à regarder pour l'aimer. »
Tu es redevenu une pile électrique, comme si, en arrivant, Hector avait remis tous tes boutons sur ON. Lorsque tu travaillais, tu te calmais, tu te posais et te concentrais sur tes clients, leurs coupes, tes produits. C'était le seul moment où tu ne courrais pas partout, où tu ne sautillais pas sur place, où ta queue ne sa baladait pas dans tous les sens au point de gêner parfois les gens – ton salon était ton havre de paix. Mais maintenant que tu avais cessé de travailler, maintenant que le petit soleil était arrivé, tu semblais ravivé. Un petit rire s'échappe de tes lèvres alors qu'il parle encore, qu'il te demande si tu habites bien ici sans te laisser le temps de répondre en divaguant sur son incapacité à retenir les choses simples de la vie – et tu ne le comprends que trop bien, toi, parce que t'es toujours à l'ouest, dans la lune, souvent les réflexes les plus simples s'effacent de ton esprit et tu te sens un peu stupide, un peu comme un boulet car après, c'est toujours les autres qui doivent réparer tes bêtises. Alors oui, tu ne peux que comprendre ce qu'il te raconte, hochant vivement la tête pour appuyer ses dires – même si tu n'étais pas au point d'oublier où est-ce que tu habitais mais toi tu ne changeais pas d'habitat tous les quatre matins, tu restais ici car tu ne voulais pas être ailleurs, car tu t'y sentais bien, car ici se trouvaient les êtres les plus précieux de tout ton petit cœur de chaton. « Non, je n'habite pas ici » Finis-tu par répondre lorsqu'il a finit sa tirade, « mais dans un appartement à quelques rues plus loin. »

Et comme tu ne veux pas le blesser, le contre-dire, tu découpes ton sandwich en quatre comme il l'a demandé - alors que ça revient au même que le couper en deux, mais c'est pas grave, ce n'est que deux coups de couteau en plus et bientôt te voilà à lui tendre les deux morceaux. Il avait besoin de manger, il était tout fin, tout maigre ton Hector et même si ça le rendait tout cutie, tout mignon, ça t'inquiétait aussi parce que tu as peur qu'il casse, parfois tu l'imagines trop épuisé pour continuer son périple à cause du manque de nourriture et ça te fait un peu peur alors tu continues de le nourrir dès qu'il passe par-là, comme une maman le ferait pour son enfant. Et c'était un peu ça, au final – parce que tu le portes comme ton enfant au creux de tes bras, parce que tu lui caresses le dos comme on câlinerait son enfant, et si tu le pouvais sûrement que tu l'adopterais, le Hector. Probablement que tu le garderais tout contre toi pour prendre soin de lui pour toujours, le Hector. Tu manges tranquillement, adossé au comptoir de la caisse pour avoir un appui convenable qui ne te donne pas mal au dos sous le poids qu'est tout de même le petit koala au creux de ton cœur. Tu termines rapidement tes morceaux de sandwich et il se positionne face à toi, ses pupilles dans les tiennes et tu sais déjà qu'il va te demander quelque chose, tu sais même quoi, et tu souris face à sa question innocente, sa voix douce et son air de chaton. Tu ris de plus belle, le berce un peu, quelques instants, soupirant d'aise, ton esprit revigoré par ce câlin-batterie, celui qui te charge, qui te rebooste, qui te remplit de joie. « Bien sûr que tu peux dormir chez moi ce soir, Hector » Annonces-tu doucement, souriant. « Des papouilles. Et oui, j'en veux tout plein plein plein ! Je t'en ferais même aussi, si tu veux. Je suis trop content que tu restes, vraiment. » Rajoutes-tu, plein d'entrain. Ravi de ne pas t'endormir tout seul ce soir, avec ce poids dans ton cœur. Ravi de ne pas retrouver le silence douloureux de l'appartement, ravi de savoir qu'un petit bout de vie viendra y mettre de la couleur ce soir.
Sujet: Re: But it feels so good, so good (lilian) Sam 3 Déc - 23:00
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Sujet: Re: But it feels so good, so good (lilian)
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